Joan GARDY-ARTIGAS (1938) Lithographie signée 69x54cm Journal sur la plage

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Joan GARDY-ARTIGAS (1938) Description : Lithographie sur papier Arches. Tirage : Signée et justifiée au crayon à papier. Exemplaires : 80. Titre : Journal sur la plage . Date de création : 1984. Dimensions : 69 x 54 cm. Condition : Très bon état. Technical: Lithograph on Arches paper. Edition: Handsigned and numbered with pencil. Issue: 80 numbered prints. Title: Newspaper on the beach. Date of creation: 1984. Sizes: 22.0" x 26.8" in. Condition: Good condition.
Biographie : Joan Llorens i Gardy est un céramiste né en 1938 à Boulogne-Billancourt. Il est le fils du céramiste Josep Llorens Artigas, ami de Joan Miró et de Pablo Picasso. Il signe sous le pseudonyme de Joan Gardy Artigas. Joan Llorens intègre l'École du Louvre, puis les Beaux-Arts. Alors que son père réside en Catalogne, il développe son propre style au contact de la vie artistique parisienne. Il ouvre son atelier de céramique à Paris, se rapproche de Giacometti, travaille avec Braque et Chagall. Il rencontre alors Sam Szafran avec qui il réalisera dans les années 2000 deux murs en céramique commandés par Léonard Gianadda pour le Pavillon Szafran à la Fondation Pierre Gianadda à Martigny, Suisse. Dans les années 1950, Joan Miró collabore avec son père Josep pour la création de diverses parois monumentales en céramique. Lorsque l'âge de Josep l'empêche de continuer son œuvre, Miró fait appel à Joan - dit Joanet - avec lequel il travaillera pendant plus de vingt ans. Leurs collaborations se retrouvent notamment dans de nombreux murs de céramique. Joan Gardy Artigas signe également de nombreuses œuvres à titre personnel, fontaines, bâtiments. Depuis les années 1970, il développe également la lithographie et la gravure.
Biography : Joan Llorens i Gardy is a ceramist born in 1938 in Boulogne-Billancourt. He is the son of the ceramicist Josep Llorens Artigas, friend of Joan Miró and Pablo Picasso. He signs under the pseudonym of Joan Gardy Artigas. Joan Llorens joined the École du Louvre, then the Beaux-Arts. While his father lived in Catalonia, he developed his own style in contact with Parisian artistic life. He opened his ceramic workshop in Paris, got closer to Giacometti, worked with Braque and Chagall. He then met Sam Szafran with whom he created in the 2000s two ceramic walls commissioned by Léonard Gianadda for the Szafran Pavilion at the Pierre Gianadda Foundation in Martigny, Switzerland. In the 1950s, Joan Miró collaborated with his father Josep for the creation of various monumental ceramic walls. When Josep's age prevents him from continuing his work, Miró calls on Joan - says Joanet - with whom he will work for more than twenty years. Their collaborations can be found in particular in many ceramic walls. Joan Gardy Artigas also signs many personal works, fountains, buildings. Since the 1970s, he has also been developing lithography and engraving.
D'après Wikipédia.
ERRO La Figuration narrative est un mouvement artistique apparu, principalement dans la peinture, au début des années 1960 en France, dans le cadre du retour à la nouvelle figuration et en opposition à l'abstraction et aux mouvements contemporains du nouveau réalisme et du pop art, auquel elle est néanmoins associée. Il faut éviter de la confondre avec la narration figurative qui est un genre de narration associant des images à du texte. Fondements Le mouvement de la figuration narrative n'a pas été structuré, en particulier, par un manifeste mais a cependant été théorisé par le critique d'art Gérald Gassiot-Talabot dans un ouvrage paru en 1965. Il s'agit d'un courant d'expression qui restreint initialement le champ de la nouvelle figuration en considérant comme narrative toute œuvre qui se réfère à une représentation figurée dans la durée, soit par la circulation d'objets dans la toile, soit par séquences, y compris sous forme de polyptyques, et qui veut généralement redonner à la peinture une fonction politique et critique de la société de consommation. Parmi ses sources d'inspiration (cadrages, montages, etc.) on compte la bande dessinée, le cinéma, la photographie, la publicité… en fait, l'ensemble des images du quotidien. Les thèmes des œuvres sont rattachés le plus souvent aux scènes de la vie de tous les jours, ainsi qu'aux revendications sociales ou politiques. La plupart des artistes de ce mouvement furent marqués par les thèses gauchistes de Mai 68, en particulier celles d'Herbert Marcuse, en estimant que le potentiel subversif de leurs œuvres devait tenir dans leur dimension esthétique bien davantage que dans un discours explicite. Selon Marcuse, « plus une œuvre est immédiatement politique, plus elle perd son pouvoir de décentrement et la radicalité, la transcendance de ses objectifs de changement ». Certains d'entre eux revendiquèrent cette tendance, tels que l'anti-franquiste Eduardo Arroyo réfugié en France, Gérard Fromanger, Erró, Gérard Guyomard, Ivan Messac, Sergio Birga, Henri Cueco. Les artistes de la figuration narrative se sont ainsi opposés au pop art américain qu'ils jugeaient trop hégémonique, trop formel, indifférent aux luttes politiques de l'époque et pas assez critique de la société de consommation, tout en utilisant certaines expressions formelles similaires.
Historique En 1962, la structure narrative apparaît dans l’œuvre de certains artistes comme Peter Klasen, présent à Paris depuis 1959 (Douche, 1962), ou Hervé Télémaque (Le Voyage, 1962) arrivé de New York quelques mois auparavant. Ce dernier rencontre la même année Bernard Rancillac qui participe au Salon de la jeune peinture avec ses camarades Eduardo Arroyo, présent à Paris depuis 1958, Gilles Aillaud et Antonio Recalcati, réunis sous l'influence d'Henri Cueco, lauréat du prix Malborough en 1956, dans leur engagement de contestation du pouvoir capitaliste, ainsi que Peter Saul également venu de New York. Déjà en novembre 1960, la première exposition des nouveaux réalistes s'était tenue à Paris au festival d'avant-garde et, en novembre 1962, à la Sydney Janis Gallery de New York en incluant la première exposition collective des artistes du pop art américain, théorisé la même année. De mai à juin 1963, les autorités américaines présentent ensuite pour la première fois en Europe, à l'American Center de Paris, l'exposition « De A à Z » regroupant 31 artistes de la jeune scène américaine du pop art ; tandis que la première série d'œuvres de Roy Lichtenstein, de 1961, basée sur la bande dessinée, est en même temps exposée à la galerie Ileana Sonnabend. Lors de la troisième Biennale de Paris, tenue fin septembre 1963 au musée d'art moderne de la ville de Paris, Eduardo Arroyo, tenant de la nouvelle figuration, se fait alors connaître en exposant son polyptyque Les Quatre dictateurs5, une série de portraits de dictateurs incluant Franco, qui provoqua la protestation du gouvernement espagnol. Si l'expression « figuration narrative » apparaît antérieurement, en étant inspirée à Gassiot-Talabot par l'usage de la séquence évolutive chez le peintre et cinéaste d'animation Peter Foldès (Lampe électrique et papillon de nuit, 1948), la figuration narrative obtient son véritable acte de naissance avec l'exposition « Mythologies quotidiennes » organisée de juillet à octobre 1964, à la demande de Rancillac et de Télémaque, par Marie-Claude Dane au musée d'art moderne de la ville de Paris (MAMVP), et à laquelle participa également, Klasen, Arroyo, Recalcati, Jacques Monory, Leonardo Cremonini, Jan Voss et Öyvind Fahlström6. Cependant, au mois de juin précédent, la nouvelle école américaine venait d'être consacrée à la Biennale de Venise par l'octroi du grand prix à Robert Rauschenberg, quelques jours seulement avant l'ouverture de cette exposition au MAMVP, ce qui en amoindrit l'impact médiatique. En octobre 1965, Gassiot-Talabot présente à la galerie Creuze l'exposition éponyme « La Figuration narrative dans l'art contemporain » où est exposé le polyptyque Vivre et laisser mourir ou la fin tragique de Marcel Duchamp d'Arroyo, Aillaud et Recalcati, acquis en 2013 par le musée Reina Sofia de Madrid7, qui constitue le manifeste de ce mouvement. L'année suivante, l'exposition « Bande dessinée et figuration narrative » est montrée au musée des arts décoratifs de Paris.
Œuvres collectives Le mouvement préconisa également la réalisation d'œuvres collectives, notamment sous la forme de polyptyques, utilisés à partir de 1963 par Arroyo avec Les Quatre dictateurs ou par Télémaque avec My Darling Clementine. La première de ces œuvres collectives, intitulée Une Passion dans le désert, réalisée en 1965 par Arroyo, Aillaud et Recalcati, est une série de treize toiles inspirée d'une nouvelle de Balzac, qui relate les amours d'un soldat de Bonaparte en Égypte et où chaque artiste avait la liberté de modifier à sa guise le travail des deux autres, afin d'abolir la « facture personnelle », considérée comme base de l'idéologie bourgeoise de l'art, au profit de l'anonymat, conséquence du travail collectif. Le polyptyque Vivre et laisser mourir ou la Fin tragique de Marcel Duchamp, introduit par une copie de son fameux tableau Nu descendant un escalier et véritable manifeste des intentions picturales du mouvement, fut réalisé par les mêmes artistes avec la collaboration de Gérard Fromanger, mais aussi celle de Francis Biras et Fabio Rieti pour la reproduction des trois œuvres de Marcel Duchamp qu'il comporte. Une séquence de huit tableaux représente l'assassinat de Duchamp par les trois principaux peintres du polyptyque, en s'attaquant ainsi à l'art conceptuel prôné par cette figure emblématique de l'avant-garde, symbole des falsifications intellectuelles de la culture bourgeoise qui « anesthésie les énergies vitales et fait vivre dans l'illusion de l'autonomie de l'art et de la liberté de création », tout autant qu'aux formes d'art qui s'en réclamaient alors et qu'ils estimaient dévoyées, comme le pop art et le nouveau réalisme. Ainsi, dans la 8e et dernière toile, on voit les défenseurs américain comme européen de ces deux mouvements, Andy Warhol et Pierre Restany, soutenir par l'arrière le cercueil de Duchamp recouvert d'un drapeau américain, en étant précédés par Arman, Claes Oldenburg et Martial Raysse et conduits par Robert Rauschenberg. La série divisa les 68 artistes invités à l'exposition « La Figuration narrative dans l'art contemporain » de la galerie Creuze, où elle était présentée, en suscitant une pétition hostile menée par le groupe surréaliste à laquelle se joignirent Télémaque et Voss. En 1966, Gerhard Richter, tenant également du retour à la figuration, s'opposa lui aussi à l'influence de Duchamp, en évoquant la même œuvre de celui-ci dans sa toile Ema, Akt auf einer Treppe (Ema, nu sur un escalier, Cologne, musée Ludwig), manifeste de sa technique du flou initiée en 1963 (Hirsch). D'autres artistes, Henri Cueco, Lucien Fleury, Gilt, Jean-Claude Latil, Michel Parré et Gérard Tisserand se sont regroupés dans la coopérative des Malassis10 de 1970 à 1977. L'une des œuvres les plus importantes de ce groupe est Le Grand Méchoui ou douze ans d'histoire de France (1972, musée des beaux-arts de Dole) composée de 50 toiles brocardant l'action du gouvernement et qui fit scandale par l'action collective de son décrochage, lors du vernissage de l'exposition voulue par le président de la République au Grand Palais, dite « Expo Pompidou ». En 1977, l'exposition « Mythologies quotidiennes 2 » fut présentée au musée d'art moderne de la ville de Paris. Eduardo Arroyo
Mai 1968
Certains artistes du mouvement, regroupés en particulier au Salon de la jeune peinture au début des années 1960, ont tenu un discours militant marqué à l'extrême gauche et donnaient à leur art un objectif de transformation sociale. Rancillac, Arroyo, Aillaud, Fromanger et Cueco ont également participé à L'Atelier populaire de l'École des beaux-arts de Paris qui produisait les affiches de Mai 68. La fameuse affiche Nous sommes tous des Juifs et des Allemands représentant Daniel Cohn-Bendit12 serait de Rancillac13, auquel s'interressa Pierre Bourdieu. Les philosophes Michel Foucault et Gilles Deleuze commenteront également les œuvres de Gérard Fromanger ; tandis que Jacques Derrida analysera celles de Valerio Adami, Louis Althusser celles de Leonardo Cremonini, Paul Virilio celles de Peter Klasen et Jean-François Lyotard celles de Jacques Monory.

La cote
Après un premier frémissement en 2002, où Le Prince de Hombourg (1965) de Gérard Fromanger obtient 61 000 euros, la figuration narrative est redécouverte à partir de 2006 avec la vente du tableau One of 36 000 Marines (1965)14 d'Hervé Télémaque, qui réalise son plus haut prix en atteignant 292 000 euros. Une toile de Peter Saul de 1963, Ice Box est vendue chez Christie's New York pour 383 000 dollars (sans les frais). En 2007, Comicscape (1971) d'Erró a atteint 838 000 euros15 chez Christie's16. Mélodie sous les palmes de 1965, par Bernard Rancillac est vendue en 2012 pour 291 000 euros.
Une grande rétrospective s'était en effet tenue en 2006 aux musées des beaux-arts d'Orléans et de Dole, intitulée « La figuration narrative dans les collections publiques », puis une seconde en 2008 au Grand Palais à Paris, reprise à l'Institut valencien d'art moderne de Valence.

Principaux musées exposant des œuvres de la figuration narrative
    Genève, Fondation Gandur pour l'art17.
    La Seyne-sur-Mer, Villa Tamaris.
    Madrid, musée Reina Sofia.
    Nice, musée d'art moderne et d'art contemporain
    Paris :
        musée d'art moderne de la ville de Paris ;
        musée national d'art moderne.    Valence, Institut valencien d'art moderne.
Peintres de la figuration narrative
    Edgard Naccache (1917-2006)
    Emanuel Proweller (1918-1981)
    Gianni Bertini (1922-2010)
    Jean-Marie Martin (1922-2012)
    Jacques Monory (né en 1924)
    Leonardo Cremonini (1925-2010)
    François Jousselin (1926-2009)
    Gilles Aillaud (1928-2005)
    Lucien Fleury (1928-2004)
    Öyvind Fahlström (1928-1976)
    Henri Cueco (1929-2017)
    Juan Genovés (né en 1930)18
    Bernard Rancillac (né en 1931)
    Gérard Schlosser (né en 1931)
    Atila Biro (1931-1987)
    Erró (Gudmundur Gudmundsson, dit, * 1932)
    Herman Braun-Vega (né en 1933)19
    Antonio Segui (né en 1934)
    Peter Saul (né en 1934)
    Valerio Adami (né en 1935)      Michel Bonnaud (1935-2008)
    Peter Klasen (né en 1935)
    Vladimir Veličković (né en 1935)
    Christian Bouillé (1948-2005)
    Jan Voss (né en 1936)
    Gérard Guyomard (né en 1936)
    Michel Tyszblat (1936-2013)
    Charles Pascarel (né en 1936)
    Pierre Dessons (né en 1936)
    Hervé Télémaque (né en 1937)
    Eduardo Arroyo (né en 1937)
    Peter Stämpfli (né en 1937)
    Antonio Recalcati (né en 1938)
    Alain Jacquet (1939-2008)
    Gérard Fromanger (né en 1939)
    Sergio Birga (né en 1940)
    Carlo Maiolini (né en 1940)
    Equipo Crónica (collectif, 1964-1981) :
        Rafael Solbès (1940-1981)
        Manolo Valdès (né en 1942)
    Gian Paolo Dulbecco (né en 1941)
    Bernard Morteyrol (né en 1942)
    Frédéric Brandon (né en 1943)
    Cybèle Varela (né en 1943)
    Christian Babou (1946-2005)
    Ivan Messac (né en 1948)
    Alain Pedrono (1951-1999)
Gérard Fromanger
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  • Style: 1980
  • Caractéristiques: Série, Signée, Numérotée
  • Authenticité: Original
  • Période: XXème et contemporain
  • Genre: Figuration narrative
  • Thème: Paysage
  • Support: Sur papier
  • Dimensions: 69 x 54 cm
  • Type: Lithographie

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