[ALGERIE] GENERAL PAUL AZAN / CHANSON / LES ORANAISES 1897 Signé introuvable !

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[ALGERIE - EPOQUE COLONIALE - CHANSON - 
PARTITION ILLUSTREE - ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE]
Paul AZAN
1874-1951
Paul Azan
 
Officier général français 4 étoiles. 
Arme Infanterie
Grade Général de corps d'armée
Années de service 1894-1940
Grades :
7 décembre 1928 : général de brigade.
20 mars 1933 : général de division.
1er mai 1940 : rang et appellation de général de corps d'armée (en 2e section). 
Commandant de corps d'armée
Commandement Général Commandant supérieur des Troupes de Tunisie
Officier supérieur de l'Etat Major des Armée française d'Orient
Chef du Service Historique de la Défense
Distinctions Grand officier de la Légion d'honneur
Croix de guerre 1914-1918
Croix de guerre des TOE
Distinguished Service Order
Grand Officier du Nicham Iftikhar
Autres fonctions Ecrivain-Historien
Grand prix Gobert en 1937
Grand prix de l'Empire Français en 1944
Paul Jean-Louis Azan, né à Besançon le 22 janvier 1874 et mort à Lons-le-Saunier le 14 août 1951, 
est un général et historien français. Il a dirigé de 1928 à 1933 le Service historique de l'armée. Issu d’une vieille famille franc-comtoise, petit-fils d’un officier ayant servi à la Légion en Espagne, il s’intéresse aux belles lettres et se lie avec Jean de Tinan. Il a reçu le Grand prix de l’empire français pour l’ensemble de son œuvre.
Le militaire et l'historien
Paul Azan est le fils de Joseph Gilles Ulysse Azan, capitaine adjudant major, originaire de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) et de Marie-Louise Card, originaire de Lons-le-Saunier (Jura) ; il épouse à Paris (XVIe) le 16 avril 1912 Henriette Bouley, puis le 10 septembre 1920 à Paris (XVIe) Françoise Preveraud de La Boutresse.
Il entre à Saint-Cyr en 1895. Sous-lieutenant au 2e régiment de zouaves, à sa sortie de l’école , il est affecté à Oran puis dans dans plusieurs petits postes de la frontière marocaine. Il emporte ses auteurs grecs et latins afin de pouvoir passer successivement sa licence et son doctorat ès lettres avec une thèse très remarquée : Hannibal dans les Alpes. C’est là sa première œuvre d’historien et non, à coup sûr, la moins curieuse 
ni la moins documentée. Il n’en faut pas davantage pour attirer l’attention  sur le jeune officier, 
qui est muté en 1902, à la section historique de l’armée.
Il mène en parallèle deux carrières : les armes et la publication et signe alors divers articles de tactique.
 Il met à profit sa récente expérience nord-africaine pour préconiser dans « Recherche d’une solution de la question algérienne », l’abandon de la funeste doctrine de l’assimilation, et des méthodes nouvelles
plus appropriées au pays.
Lieutenant, il écrit Sidi Brahim en 1905. C’est l’histoire de l’épopée des chasseurs d’Orléans, au mois de septembre 1845. Ce petit marabout perdu dans le bled oranais entré dans la légende beaucoup plus que dans la véritable histoire. Le lieutenant Azan remonte hardiment aux sources, vérifie les moindres faits comme les moindres dates, dégage les responsabilités, exalte la bravoure des chefs, dont certains ont trouvé dans une mort glorieuse l’absolution de leurs erreurs. Il fait aussi la part de l’héroïsme des modestes soldats. L’ouvrage est couronné par l’Académie française.
Promu capitaine à la suite d’une mission d’études en Espagne, il est affecté sur les confins algéro-marocains, séjourne à Aïn Sefra auprès de Lyautey et, à son retour, dans un rapport présenté au ministre, suggère de créer une marche frontière, face au Maroc. Ce rapport est imprimé sous ce titre : la Frontière algéro-marocaine au début de 1907. 
La même année, il retrace l’histoire de la vielle unité dans laquelle son grand-père a servi : 
La Légion étrangère en Espagne (1835-1839).
Il prend part à la campagne contre les Beni Snassen et, en 1908, il est détaché au corps expéditionnaire du général d’Amade. Revenu en métropole, en garnison à Autun, il met à jour ses notes et impressions dont la réunion forme les Souvenirs de Casablanca. En août 1914, il rejoint la métropole.
Après un court passage dans un état-major d’armée, il prend le commandement d’une compagnie d’un régiment d’infanterie du 20e corps. Il est blessé, une première fois, sur l’Yser. Nommé chef de bataillon, il est de nouveau blessé lors de l’offensive en Artois de mai 1915. Il doit quitter le champ de bataille. Dans sa chambre d’hôpital, il rédige les règles du combat telles qu’il les conçoit après les rudes expériences de Belgique et de Neuville-Saint-Vaast. Non publié, cet essai n’a pas été mis dans le commerce. Le texte multi copié est très largement répandu
 et servira de base au règlement officiel de 1920.
Remis de ses blessures, il est d’abord instructeur à la VIe armée sous les ordres de Fayolle, puis de Mangin. Il est ensuite désigné, avec le grade de lieutenant-colonel, comme chef d’une mission d’information que le gouvernement envoie aux États-Unis au printemps de 1917. Cette mission est chargée de former des officiers de réserve américains, à l’université Harvard. Il écrit successivement deux volumes : The War of positions et The Warfare of to day, fait des conférences à Boston, au Lowell Institute, voyage dans tout le sud du pays et reçoit le titre de docteur ès lettres honoris causa de la grande université américaine, avec dans la citation qui résume ses mérites, cet éloge si expressif, en quatre mots : « Every inch a soldier », soldat de la tête aux pieds).
Au lendemain de l’armistice de 1918, chef d’état-major du général Franchet d’Esperey, ses fonctions l’amènent à Constantinople, en Asie Mineure, en Thrace méridionale, puis, il accompagne le général Nivelle aux États-Unis.
Devant faire un temps de commandement, il est affecté au 6e régiment de tirailleurs algérien à Tlemcen. Dans cette ville de culture musulmane, il se lie avec de multiples arabisants et avec des indigènes lettrés. Utilisant d’anciennes notes, il en profite pour achever « l’expédition de Fez », qui paraît avec une introduction du maréchal Lyautey et une préface du général Moinier. Il publie également une biographie d’Abd el-Kader.
Avec son régiment, il est engagé dans la guerre du Rif contre Abd el-Krim. Revenu en France, il y suit les cours du Centre des hautes études militaires à « l’École des maréchaux » puis revient en Afrique comme commandant par intérim de la 1re brigade d’infanterie, à Tunis. Chef du service historique de l’armée en juin 1928, il y reçoit ses étoiles et reste cinq ans à la tête de ce service.
L'académicien
Il est accueilli par le maréchal Lyautey à l’Académie des sciences coloniales en 1930. Avant l’ouverture de l’exposition coloniale de 1931, il fait sortir, à la demande de Lyautey, les 21 volumes des Armées françaises d’outre-mer. Promu divisionnaire, il met la dernière main à Conquête et pacification de l’Algérie, Œuvre majeur qui rend un vibrant et légitime hommage à l’armée d’Afrique où la Légion et ses « Légionnaires » entrent dans une grande part. Nommé commandant supérieur des troupes de Tunisie en 1934, il remet son épée au fourreau en 1936.
L’écrivain garde la plume. Grand prix littéraire de l’Algérie, grand prix Gobert en 1937, l’Académie le couronne en 1944 en lui accordant le Grand Prix de l’Empire français.
 
-
Nous vendons ici une rarissime oeuvrette de jeunesse dédicacée et signée 
d'époque par le futur général !
(elle semble inconnue des bibliographes...)
Chansonnette
Les Oranaises
 
 Paroles de Paul Azan
Musique (accompagnement au Piano) par Emile Marin
Gd In-4, (33,5x26,5cm), 1 feuillet central plié en deux formant 4 pages (musique notée, 
paroles du 1er couplet, ornements), sous couverture gris-bleu souple illustrée en noir
Le second contre-plat de la couverture bleue comporte le texte imprimé des 8 couplets de la chanson illustrés 
de 6  dessins en noir (sans doute dus également à l'auteur), titre manuscrit à la plume (les oranaises)
Bon état d'usage, assez propre, défauts divers inévitables,
petites déchirures ou plis sur bords ou dos, légers manques divers,
restauration ancienne sur la charnière centrale de la couverture, 
(renfort de papier cristal)
Exemplaire dédicacé et signé en date de 1897, époque de sa première affectation 
au 2e Zouaves à Oran à sa sortie de Saint-Cyr
(la dédicace et la signature sont en partie coupées sur le bord droit)
cf visuels...
Rarissime et précieux document
Vendu en l'état décrit, tel que trouvé
-
 Paul AZAN
Général très actif lors du centenaire de l’Algérie, historien militaire de l’Empire colonial français,
il prit pour devise, démarquant celle de Bugeaud, " Ense et calamo"
.
Issu d’une famille militaire qui depuis le  XVIII e   siècle avait donné plusieurs officiers de renom,
 il fait ses études à Mâcon, puis à Paris. 
Il commence par publier un petit recueil de poésie,  Contrastes 
 (1891-1894). Reçu à Saint-Cyr en 1895, où il est condisciple du petit-fils d’Abd
 el-Kader, le futur émir Khaled, il choisit l’Algérie au sortir de l’école militaire, comme sous -lieutenant au 2 e  zouaves (1897). Il tient d’abord garnison à Oran, 
puis il occupe les petits postes, le long de la frontière
algéro-marocaine : Nemours, Tlemcen, Lalla-Maghnia, Sebdou. 
Depuis l’Ouest algérien, il visit e par ailleurs les  presidios 
 espagnols de la côte marocaine et la ville de Tanger. Ces voyages et ces études sont les éléments de son travail pour la
Recherche d’une  solution de la question indigène en Algérie  (1903) où il préconise l’abandon de la politique d’assimilation. Dans l’Oranais, pour tromper sonennui, il devient un spécialiste d’histoire et d’archéologie, obtenant son doctorat ès lettres à la  Sorbonne avec une thèse substantielle H annibal dans les Alpes   (1902). 
Alors qu ’ il est le seul officier parvenu à ce grade universitaire, le ministre de la Guerre le nomme
au service historique de l’armée (1902 -1906). Il y découvre la richesse des archives militaires et rédige
Sidi-Brahim   (1905), premier ouvrage de la série intitulée « Récits d’Afrique  », comprenant des ép isodes de la conquête 
de l’Algérie. Auteur d’une étude pénétrante sur  La Légion étrangère en Espagne, 1835-1839 , (1907),
 il écrit par ailleurs de nombreux articles sur les questions africaines oucoloniales, 
 en particulier dans les  Bulletins  des sociétés d e géographie d’Alger, d’Oran et de Dijon.
 En Algérie, nommé capitaine(1907), il prend part sous les ordres de Lyautey à la campagne des
Beni Snassen. Il y gagne l’estime et l’amitié du général qui désire le garder parmi ses collaborateurs, mais qui ne s’o pposera pas à son départ pour le Maroc où il participe aux opérations dans la Chaouia (1908). 
Revenu en France, il rédige ses  Souvenirs de Casablanca   (1911),  comportant ses nombreuses photographies de terrain. 
Affecté à la section Afrique de l’état -major g énéral quand éclate la guerre de 1914, il fait campagne comme capitaine d’infanterie. Grièvement blessé en 1915, il rédige à l’hôpital un mémoire sur
La Guerre actuelle (1914-1916), réflexions et  souvenirs d’un fantassin  (1916), qui lui vaut d’être nommé directeur de l’instruction de la VI e  armée ; puis, en 1917, aux États- Unis, formateur des officiers de réserve américains
 à l’université de  Harvard.
 
 Après guerre, Franchet d’Esperey, commandant en chef de l’armée d’Orient, le nomme chef d
eson état-major à Const antinople. Il retourne dans le Levant en 1920, visite l’Asie Mineure et rassemble les éléments d’un rapport de synthèse sur la situation militaire de cette région, mais c’est avec satisfaction qu’il reçoit la charge du 6 e
 régiment de tirailleurs à Tlemcen. Sur place, il entretient des rapports amicaux avec Alfred Bel, le directeur de la médersa, et gagne la  sympathie des lettrés musulmans. Pris de passion pour l’histoire d’Abd  el-Kader, il lui consacre ce
qui reste jusqu’à aujourd’hui la plus solide biogra phie sur  L’Émir Abd el-Kader   (1925), dont le sous-titre :
 Du fanatisme musulman au patriotisme français , rend cependant problématique une réédition en Algérie indépendante.
 Au cours de la guerre du Rif, il forme le noyau d’un régiment de marche qui achève  la défaite
d’Abd el -Krim et réduit la « tache de Taza ». Désigné pour suivre le cours des hautes études
militaires, il quitte l’Afrique du Nord à la fin de 1927. Promu général de brigade (1928), il est nommé directeur du service historique de l’armée. Il t ermine sa carrière militaire, de 1933 à 1936,
comme général de corps d’armée, commandant supérieur des troupes de Tunisie.
Élément clé de la vie politique et culturelle en Afrique du Nord, il participe avec le maréchal
Lyautey à l’Exposition coloniale internationale de Paris en 1931, à cette époque d’apogée de l’Empire français. 
En quelques années, il dirige et assure la publication de la grande collection
 Les  armées françaises d’Outre -mer , où sont associés des collaborateurs bien choisis (au nombre desquels
figure Charles de Gaulle). Sous l’impulsion du général Azan, le Service historique de l’armée devient un centre d’études reconnu pour la tenue de ses publications. Même quand il oriente son discours des principales tendances de l’histoire officielle des  années 1930, il indique clairement sa position. En particulier dans  Conquête et pacification de l’Algérie 
 (1931) où il entreprend de nourrir la  pensée coloniale par des exemples vivants, tel le général Bugeaud. 
Dans l’autre grande synthèse,  L’ a rmée d’A  frique de 1830 à 1852  (1936), il condense et coordonne vingt ans de recherches et de  mise au point d’après les archives de la Guerre, et celles du Gouvernement général de l’Algérie. 
Titulaire de nombreuses distinctions militaires, son talent d’historien et  d’écrivain lui vaut le grand prix littéraire de l’Algérie (1937), et pour l’ensemble de son œuvre, le grand prix de l’Empire français (1944). 
L’Association des écrivains algériens et l’Académie des sciences coloniales l’ont  par ailleurs choisi comme président. Ce brillant militaire, proche de Lyautey, est le type du général   impérialiste tournant ses regards 
sur le potentiel humain et économique de l’Afrique.
 
YVER Georges, « Le général Azan »,
Revue Africaine , 1951, p. 250-259. 
ÉMERIT Marcel, « Paul Azan », in
Hommes et destins , 1975.
 
 
Edition originale
First Printing 
cf visuels...
 
 
 
Comme toujours, frais de port groupés en cas d'achat de plusieurs ouvrages...
   
  • Caractéristiques spéciales: Édition originale, Illustré, Inscrit
  • Langue: Français

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