Albert Du Bois : JULIA BARTET. 1920 ENVOI AUTOGRAPHE DE L'ACTRICE ET L'AUTEUR

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ALBERT DU BOIS

JULIA BARTET.

Essai critique.

ENVOI AUTOGRAPHE DE LA COMÉDIENNE ET DE L'AUTEUR AU POÈTE, ROMANCIER ET DRAMATURGE SAINT-GEORGES DE BOUHÉLIER

EXEMPLAIRE PERSONNEL DE SAINT-GEORGES DE BOUHÉLIER.

1920, E. Sansot, bibliothèque internationale d'édition, Paris.

1 vol. in-8. Broché de 66 pages.

Bon état, intérieur frais.

Dédicace de l'auteur et de l'actrice au poète et romancier Saint-Gierges de Bouhélier.

Julia BARTET, amie de Marcel Proust, Robert de Montesquiou et bien d'autres...

Ouvrage rare.

(Les photos de l'actrice et du poète servent uniquement à illustrer l'annonce, et ne sont pas matérielles.)

JULIA BARTET :

Jeanne Julie Regnault, dite Julia Bartet ou Mademoiselle Bartet, née en 1854 à Paris où elle est morte le 18 novembre 1941, est une comédienne française.

Elle entre au Conservatoire dans la classe de Régnier de La Brière, ancien comédien, en novembre 1871, et quelques mois de cours lui suffisent pour obtenir un second accessit de comédie au concours de fin d’année. Elle est immédiatement engagée au Théâtre du Vaudeville (elle a 18 ans) où elle débute en septembre 1872 dans le rôle de Vivette de l'Arlésienne d'Alphonse Daudet, dans lequel elle obtient un vif succès.

Grâce à son talent, et en dépit de sa jeunesse, elle se fait rapidement une place de premier plan dans ce théâtre, surtout après son interprétation de Madame Bellamy dans l’Oncle Sam de Victorien Sardou, en 1873. Dès lors, plus aucune pièce importante, créée ou reprise, ne se fait sans elle. On peut citer ses participations dans : Berthe d’Estrées de Henri Laurent Rivière en 1873 ; Les Ganaches de Victorien Sardou en 1874 (créé en 1862 au Gymnase) ; Le Chemin de Damas en 1875 ; Manon Lescaut en 1875 ; Fanny Lear, rôle de Geneviève de Noriolis, de Meilhac et Halévy en 1875 ; Fromont jeune et Risler aîné, rôle de Désirée, d’Alphonse Daudet en septembre 1876 ; Dora de Victorien Sardou en 1877 ; Le Club d’Edmond Gondinet en septembre 1877, rôle de Jeanne de Mauves, premier rôle féminin ; Les Bourgeois de Pontarcy de Victorien Sardou en 1878 ; Les Tapageurs d’Edmond Gondinet en avril 1879, rôle de Clarisse, premier rôle féminin.

Elle est admise à la Comédie-Française en septembre 1879. Elle en devient la 307e sociétaire en décembre 1880 par un vote unanime du comité, une fois accomplis les trois débuts d’usage : dans la comédie : rôle de Mlle Henderson dans Daniel Rochat de Victorien Sardou en février 1880 ; dans le drame : rôle de la Reine dans Ruy Blas de Victor Hugo ; dans la tragédie : rôle d’Iphigénie dans Iphigénie de Racine.

À cette époque, où l’administrateur général du théâtre, Émile Perrin, qui a le goût de la modernité, ouvre le répertoire à de nombreuses pièces nouvelles, la polyvalence de Julia Bartet lui permet de tenir les rôles de jeune première du répertoire classique, des reprises récentes et des créations nouvelles. Quelques exemples montrant la large variété des rôles tenus et l'étendue de son talent : Mlle de Belle-Isle dans la pièce du même nom d’Alexandre Dumas père ; Camille dans On ne badine pas avec l’amour d’Alfred de Musset ; Mlle Béjart dans l'Impromptu de Versailles de Molière ; Blanche dans le Roi s’amuse de Victor Hugo ; Christine dans Bertrand et Raton d'Eugène Scribe ; Antoinette dans le Gendre de M. Poirier d’Émile Augier ; Andrée dans Jean Baudry d'Auguste Vacquerie ; Catherine de Septmonts dans l’Etrangère d’Alexandre Dumas fils ; Doña Sol dans Hernani de Victor Hugo ; Armande dans les Femmes savantes de Molière en 1888 ; Silvia dans Le Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux en 1891[1] ; Bérénice dans Bérénice de Jean Racine en 1893[2] ; Andromaque dans Andromaque de Jean Racine en 1901, où elle fut la première à adopter une robe grise pour le rôle.

Notamment, elle insiste pour que l'on reprenne Bérénice de Racine en 1893, pièce oubliée en raison de la Révolution, mise en scène par Mounet-Sully. Son succès est immense[3],[4].

Enfin, elle tient les premiers rôles féminins dans les créations suivantes : Les Rantzau de Erckmann et Chatrian en 1882 ; Mademoiselle du Vigean de Simone Arnaud en 1883 ; Denise d’Alexandre Dumas fils en 1885 ; Chamillac (Mme de Tryas) d’Octave Feuillet en 1886 ; Francillon d’Alexandre Dumas fils en 1887 ; La Nuit d'octobre de Musset avec Sarah Bernhardt dans le rôle du poète en mars 1887 ; La Loi de l'homme de Paul Hervieu (rôle de Laure de Raguais) en février 1897 ; 1901 : Le Marquis de Priola de Henri Lavedan, Comédie-Française ; L'Énigme de Paul Hervieu (rôle de Léonore) en novembre 1901 ; 1902 : L'Autre Danger de Maurice Donnay, Comédie-Française ; 1905 : Les Deux Hommes d'Alfred Capus, Comédie-Française ; 1905 : Marion de Lorme de Victor Hugo ; 1906 : Le Duel de Henri Lavedan, duchesse de Chailles ; L'Écran brisé de Henry Bordeaux en 1908, dont elle fut l'inspiratrice et la créatrice, selon les propres mots de Henry Bordeaux. Il s'agit d'une adaptation de la nouvelle du même nom ; Le Foyer, d'Octave Mirbeau (rôle de Thérèse Courtin), en décembre 1908 ; Après moi de Henry Bernstein, en février 1911.

Son excellence dans tous ces domaines la fait qualifier de « divine Bartet ». Elle est décorée de la Légion d'honneur au grade de chevalier en 1906. En 1908, elle fait une saison à Londres. À 65 ans, en 1919, en pleine gloire, elle quitte la Comédie-Française en jouant Bérénice lors de la création de L'Hérodienne, héroï-comédie tragique d'Albert du Bois, et elle prend définitivement sa retraite du théâtre. Elle se consacre désormais à la peinture. En janvier 1920, elle est promue au rang d'officier de la Légion d'honneur.

Elle est inhumée au cimetière de Passy. Le 17 février 1942, lors d'une cérémonie présidée par le secrétaire général des Beaux-Arts Louis Hautecœur, un buste de Julia Bartet est inauguré à la Comédie-Française[5].

Julia Bartet fut l'un des modèles de Marcel Proust pour la Berma, avec Réjane et Sarah Bernhardt.

Elle a résidé au 16 rue du Général-Foy, Paris 8e, pendant plus de 40 ans.

SAINT-GEORGES DE BOUHÉLIER :

Stéphane-Georges Lepelletier de Bouhélier, dit Saint-Georges de Bouhélier, né à Rueil (Hauts-de-Seine) le 19 mai 1876 et mort à Montreux (Suisse) le 20 décembre 1947, est un poète, romancier et auteur dramatique français.

Fils du journaliste et homme de lettres Edmond Lepelletier[1], il fit ses études au lycée de Versailles, où il se lia d'amitié avec Maurice Le Blond, le futur gendre de Zola, et au lycée Condorcet. En février 1893, à l'âge de seize ans, il fonda une revue littéraire, L'Académie française, qui devint, après le deuxième numéro, L'Assomption. En janvier 1894, après un long séjour en Suisse, il entra comme employé à la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, et en mai, il lança, avec Maurice Le Blond, Le Rêve et l'Idée. C'est alors qu'il fonda le naturisme, mouvement inspiré par le désir de concilier la vérité et la beauté dans l'art en exaltant les mystères et les splendeurs de la vie et la vertu civique : à la fin de 1895, sa revue fut rebaptisée Documents sur le naturisme, puis, en mars 1897, La Revue naturiste.

En novembre 1896, il eut son premier entretien avec Émile Zola, à qui il avait dédié son livre L'Hiver en méditation. Zola lui conseilla d'écrire un article sur le naturisme et promit de le recommander aux directeurs du Figaro. Les deux hommes se virent souvent par la suite, et Bouhélier soutint la campagne du romancier pour la révision du procès Dreyfus. Après avoir publié des récits lyriques — La Route noire (1900), Julia ou les Relations amoureuses (1903) — et des vers philosophiques, Les Chants de la vie ardente (1902), il fit paraître La Romance de l'homme (1912), apologie de la cause ouvrière.

Bouhélier écrivit surtout pour le théâtre, en se donnant pour but de faire renaître la tragédie. Il choisit des sujets religieux (Le Roi sans couronne, 1906), politiques (La Tragédie royale, 1909), légendaires (La Tragédie de Tristan et Iseult, 1923), et, surtout, des sujets historiques (Le Sang de Danton, 1931 ; Napoléon, 1933 ; Jeanne d'Arc, la Pucelle de France, 1934 ; Le Roi-Soleil, 1938). Il obtint son plus grand succès avec Le Carnaval des enfants, pièce créée au théâtre des Arts en 1910, et jouée par la suite à l'Odéon et à la Comédie-Française.

SOURCES : WIKIPÉDIA

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  • Époque: 1900 à 1960

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