[George Desvallières] Jean Ravennes - La Vie De Marie - La Revue Française, 1928 1/35 ex. sur Japon impérial - avec suites

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LA VIE DE MARIE, texte de Jean RAVENNES (1895-1970), illustré en couleur par Georges DESVALLIÈRES (1861-1950) – Paris, À La Revue Française / Alexis Redier Éditeur, 1928

 

Belle illustration pour cette biographie romancée de la Vierge Marie , inspirée des  É vangiles, des Saints, des sermons de Bossuet, de l'iconographie des cathédrales, et de  diverses études sur la Vierge et la Terre Sainte.  L’ouvrage est aussi une "histoire de famille", puisque le texte de Jean Ravennes, alias Jean des Vallières (1895-1970) est illustré par l’un des cousins de son père, le grand artiste peintre George Desvallières (1861-1950), fondateur avec Maurice Denis des Ateliers d’art sacré .

·       in-4 broché (env. 29,5 H x 23,5 L cm)

·       (4 ff) + (I-II) + 271-[1] pp. + (4 ff.)

·       Achevé d’imprimer le 20 mai 1928

·       Imprimé par Coulouma (Argenteuil)

·       Couverture rempliée grise, titrée en noir ; dos imprimé en noir

·       Emboîtage d’éditeur gris bleu, avec étiquette de titre au dos de la chemise

 

 

48 compositions originales en couleurs de George DESVALLIÈRES (1861-1950) , gravées sur bois par Pierre Gusman (1862-1941) et Paul Baudier (1881-1962)

·        17 hors-textes dont un frontispice (env. 17,7 H x 13,5 L cm)

·        31 bandeaux entêtes (env. 6,5 H x 14 L cm)

 

Un des 35 ex. du 4ème tirage sur Japon Impérial , numéroté de 26 à 60

 

·       ex. signé par l’artiste – signature manuscrite sur le justificatif, en bleu

·       ex. avec 2 suites  en couleur sur Japon impérial (photos n°22, 23 et 24)  :

o   une superbe suite des hors-textes au pochoir (17 pl.)  –   photos n°1, 22 et 23

o   une suite complète des bois gravés (48 pl.)  –  photo n°24

o    les hors-textes sont donc en 3 exemplaires  –  photo n°22

 

·       tirage total limité à 325 exemplaires  : 1 ex. sur Japon impérial (n°1) comprenant trente-deux aquarelles originales, une double suite des hors-textes reproduits au pochoir et une double suite des bois en couleurs ; 8 ex. sur Vieux Japon (n°2 à 9) comprenant chacun deux aquarelles originales –  dont un hors-texte –, une double suite des hors-texte reproduits au pochoir et une suite des bois donnant la décomposition des couleurs ; 16 ex. sur Japon impérial (n°10 à 25) comprenant une double suite des hors-texte reproduits au pochoir et une suite des bois donnant la décomposition des couleurs ; 35 ex. sur Japon impérial (n°26 à 60) comprenant une suite des hors-texte reproduits au pochoir et une suite des bois en couleurs ; 65 ex. sur vélin à la forme de Montval (n°61 à 125) comprenant une suite des hors-textes reproduits au pochoir ; 175 ex. pour le tirage courant sur vélin de Vidalon (n°126 à 300) + 25 ex. hors commerce réservés à l’auteur, aux artistes et à l’éditeur (n°I à XXV).

 

 

Bel exemplaire, dans un emboîtage en très mauvais état – cf. photos

 

·       Emboîtage (non photographié) : à changer – étui en morceaux et incomplet, avec une facette / tranche manquante. Les morceaux existants sont très insolés / brunis, et un peu tachés. Chemise : dos totalement insolé / bruni, papier totalement fendillé au niveaux des charnières, avec manques.

·       Couverture  (photo n°2) : serait en très bon état, s’il n’y avait pas une petite coupure en bas du plat supérieur (env. 3 cm, côté dos).

·       Intérieur et gravures  : particulièrement frais et propre, sans rousseurs constatées. Juste un léger transfert du frontispice sur la page de titre (photo n°3).

·       Suites  : en très bon état.

 

 

EXTRAIT – Fille des Rois

“(…) La vierge qui n’a voulu en partage qu’une vie obscure dans le service de Dieu est fille de David par la descendance de Nathan. En s’unissant à cette branche, Zorobabel, auteur du sang des prêtres, dans ses veines, est mêlé au sang royal, car Élisabeth, fille d’Aaron, est sa cousine. Depuis cinq siècles, éloignée du trône, cette famille, déchue d’un si haut lignage, vit humblement en observant de la loi. Ses membres, agriculteurs pour la plupart, ont essaimé dans diverses villes de Judée et de Galilée, les uns à Nazareth, d’autres près de Jérusalem, ou à Bethléem, berceau de leur race : c’est là que Jessé, père de David, naquit et fit souche ; et la petite fille du temple est le dernier rejeton, prêt à fleurir, de son antique racine. (…) ”

 

 

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::::::: PLUS D’INFOS SUR LES ARTISTES

 

 

Pour plus d’informations sur George DESVALLIÈRES (1861-1950) et son œuvre :

·        Site consacré à  George Desvallières  et à son catalogue raisonné

·        AMBROSELLI de Bayser, Catherine & HORNUS Priscilla & LEQUEU, Thomas.  Georges Desvallières  | Catalogue raisonné de l’œuvre de George Desvallières (éd. Somogy, 2015)

·        AMBROSELLI de Bayser, Catherine.  George Desvallières et la Grande Guerre  – in :  Revue LISA / LISA e-journal , vol. X – n°1 | -1, p. 34-50

·        DEREMBLE, Jean-Paul.  Les ateliers d’art sacré   (vidéo) – approche critique de l’œuvre des Ateliers et de leur réception / Chemin des Arts, Cathédrale de Créteil, mai 2021

·       George Desvallières : la peinture corps et âme   – exposition au Petit-Palais, Musée des Beaux-arts de Paris, 15 mars-17 juillet 2026

·        SAINT-MARTIN, Isabelle & STAHL, Fabienne.  Les Ateliers d’art sacré – Rêves et réalités d’une ambition collective  – éd. Hermann (Paris) & Campisano (Rome), 2023

·        Bénézit (1976) , T3, p. 538

De son vrai nom Georges Lefèbvre-Desvallières, George Desvallières (1851-1960) est un peintre chrétien français, élève de Tony Robert-Fleury (1837-1911) et de Jules Valadon (1826-1900) à l’Académie Julian (1878). Issu de la grande bourgeoisie parisienne, il est, du côté de sa mère, l’arrière-petit-fils et petit-fils des académiciens Gabriel et Ernest Legouvé. Il est particulièrement connu pour avoir fondé les Ateliers d’art sacré (1919-1947) avec Maurice Denis.

Un temps influencé par le symbolisme de son grand ami, Gustave Moreau (1826-1898), il se fait tout d’abord connaître avec des scènes mythologiques : Hercule cueillant la pomme d’or (1892), Narcisse (1893), La Nymphe (1896), L’Orgie (1897), Ulysse et Nausicaa (1898), etc. Autant d’œuvres qui lui valent plusieurs prix et distinctions : il devient membre du Salon des artistes français (1895), puis membre du Salon des beaux-arts (1901), avant de cofonder le Salon d’Automne (1903) dont il assura longtemps la vice-présidence, puis, à partir de 1936, la présidence. Il s’agit d’un salon novateur, antiacadémique, qui verra défiler tous les artistes de talent qui étaient alors rejetés par les salons installés : en 1904, ce seront les fauves ; en 1912, les cubistes. À ses côtés dans cette aventure novatrice, on retrouve des artistes comme Bonnard, Vuillard, Vallotton, Rouault, Matisse, etc. qui marqueront à jamais l’art du XXe siècle.

Toutefois, lorsque Desvallières se convertit au catholicisme, vers 1904-1905, il se tourne vers l’art sacré. Un art qu’il ne quittera quasiment plus, si ce n’est pour quelques projets illustrés, à l’instar de son Rolla de Musset (1905) ou de la Princesse Lointaine d’Edmond Rostand (1914). Avec Maurice Denis – autre grand artiste chrétien –, il fonde après-guerre les Ateliers d’art sacré (1919-1947), en vue de relancer l’art chrétien qui, en France, était tombé en désuétude avec les horreurs de la guerre. Annonciations (1910 et 1912), Nativités (1913), etc., deviennent alors ses sujets principaux. Ces sujets ont beau être classiques, leur traitement par Desvallières reste profondément singulier et novateur, épousant les tourments du XXe siècle. Chez lui, en effet, la religion, faute de pouvoir empêcher les horreurs humaines, est souvent dramatique, voire angoissée. Un sentiment qu’il exacerbe en usant de couleurs originales, vives et fauves à la fois, dont son tout premier maître, le peintre Élie Delaunay (1828-1891), lui avait transmis le goût.

 

Pour plus d’informations sur Paul BAUDIER (1881-1962) et son œuvre :

·        Site consacré à  Paul Baudier

·        Fiche  BnF

·        Bénézit (1976), T1, p. 516

 

Originaire de Paris, Paul BAUDIER (1881-1962) est un artiste français du XXe siècle, à la fois peintre, illustrateur et surtout immense graveur. Coloriste hors-pair, il est particulièrement connu pour ses paysages, inspirées des campagnes françaises et tout particulièrement du Gâtinais où il passa une bonne partie de son enfance. Il s’initie à la gravure chez son oncle, le graveur Edmond Duplessis chez lequel il devient apprenti après ses études secondaires. Il y a découvre alors la gravure sur bois, technique qu’il perfectionne ensuite auprès du graveur Eugène Dété (1848-1922). Tout en travaillant déjà pour La Vie Illustrée , il poursuit sa formation dans diverses académies parisiennes, notamment chez Julian, Colarossi, etc. Dès 1900, il expose au Salon des Indépendants, devient Meilleur Ouvrier de France, et collabore à différents journaux. Mobilisé en 1914, il est grièvement blessé et fait prisonnier en Allemagne, puis en Suisse. De retour de captivité, il rejoint les Artistes Français – dont il prendra par la suite la présidence – et fréquente le célèbre atelier des céramistes Lachenal (Edmond, Jean-Jacques et Raoul) à Châtillon où il décide de s’installer avec son épouse (1927). Il y croise la bohème de l’époque : Van Dongen, Foujita, Suzanne Tourte mais aussi Sarah Bernhardt et autres. Il décide alors de se consacrer à la gravure et à l’illustration d’ouvrages, double activité qu’il exercera jusqu’à la fin de sa vie. En tant que graveur, il fut associé à de nombreux livres d’artiste et de bibliophilie. Parmi les plus recherchés : Les Blés mouvants de Verhaeren ill. par Le Meilleur (1918), Magnificat d’O. Charpentier ill. par A. Bouchet (1921), Les Fables choisies de La Fontaine, ill. par Malassis (1930), Pêcheur d’Islande de Loti ill. par Dethomas (1933), Les Fêtes galantes de Verlaine ill. par Dignimont (1942), La Légende de Saint-Julien l’Hospitalier ill. par Deluermoz (1945), Le Satyricon ill. par Derain (1951), etc. En tant qu’illustrateur, on lui doit de nombreux livres illustrés, dont quelques très beaux livres de bibliophilie où il fit parler ses merveilleux talents de coloriste : Romances (1923), Odes en son honneur (1924) de Verlaine, Par les champs et par les grèves de Flaubert (1943), Sur l’eau de Maupassant (1951), les Lettres élémentaires sur la Botanique de Rousseau (1957), Tableau de la France (1936) et Un regard sur la mer (1959) de Michelet mais aussi des textes d’auteurs plus contemporains comme Duhamel (Vie des Martyrs , 1924 ; La Possession du Monde, 1927 ), Gourmont (Lettres à l’Amazone , 1918 ; Lettre à Sixtine , 1927…), Maeterlinck (Le Trésor des humbles , 1921), etc. Plusieurs de ses livres illustrés du reste seront imprimés par son fils, Pierre Baudier qui était associé à Marthe Fequet, fille du typographe-imprimeur Émile Fequet, lui-même ancien collaborateur d’Auguste Lepère.

 

Pour plus d’informations sur Pierre GUSMAN (1862-1941) et son œuvre :

·     Biographie de Pierre Gusman – © INHA (Institut National d’Histoire de l’Art)

 

Pour plus d’informations sur Jean des VALLIÈRES, dit Jean RAVENNES (1895-1970), et son œuvre :

·        Fiche  BnF

·        Acquittement de  Jean des Vallières  – in :  L’Aurore,  6 mars 1952, p. 5

·        Liste des scénarios de  Jean des Vallières

·        LAUNEY, Stéphane.  Jean Renoir sous l’uniforme   – in :  Revue historique des armées , 259 | 2010, p. 79-92 – avec des informations sur Jean des Vallières et ses relations avec Jean Renoir après la sortie de la Grande Illusion en 1937

Issu de la grande bourgeoisie parisienne et fils de général, Jean des Vallières (1895-1970) est un militaire et homme de lettres français, proche de la droite nationaliste, voire des royalistes et de l’Action française. Il est connu aussi sous les pseudonymes de Terence Mac Swiney et de Jean Ravennes. Son œuvre romanesque s’inspire souvent de son expérience miliaire. Notamment comme hussard durant la Grande Guerre (Quelques sabres dans la mêlée , 1916). Mais surtout comme prisonnier de guerre, emprisonné à partir de 1916 en Allemagne, au camp de représailles du Kavalier Scharnhorst (travaux forcés), d’où il s’évadera avant d’être de nouveau capturé. Ses souvenirs de prisonnier donneront naissance à deux de ses plus grands succès : Kavalier Scharnhorst (1931) et Spartakus Parade (1932), deux récits d’héroïsme qui sont les deux premiers opus d’une trilogie, La Tendre Allemagne , dont s’inspira Jean Renoir pour La Grande Illusion . Jean des Vallières en vint même à poursuivre le cinéaste pour plagiat partiel (1937). Cette trilogie s’achèvera avec L’Escadrille des anges (1947), évocation de son passé de pilote durant la Grande Guerre. Au-delà du front, la vie militaire et la Légion étrangère qu’il rejoint en 1933 sont pour lui des sources d’inspiration inépuisables, comme en témoignent sa tétralogie Sous le drapeau de la Légion étrangère qui réunit un roman, Les Hommes sans nom (1933) et trois recueils de nouvelles : Sa grandeur l’infortune (1945), Extrême sud (1947) et Les Rendez-vous du hasard (1955). Outre l’armée et la guerre, propice à des récits d’héroïsme qu’il affectionnait tant, d’autres thèmes nourriront son œuvre romanesque, à commencer par l’amour / le couple et la Provence où il s’installe à partir de 1930, après avoir fait l’acquisition dans les Alpilles, du Château de Montauban , ancien lieu de villégiature d’Alphonse Daudet. Il écrivit ainsi divers ouvrages sur la région (Découverte de la Provence, Fontvieille et sa cote bleue…) et de nombreux romans publiés dans la collection Chroniques provençales . Parmi eux : Les Filles du Rhône, Folco de Baroncelli, le chevalier de la Camargue, Cantique à la reine du matin, Ses yeux si bleus, Les Éléphants, Lola de Rotterdam, J’avais sept filles, La Jeunesse des Dieux, L’Aventurine, etc. Il n’était pas rare qu’il tire de ses romans des scénarios et dialogues pour le cinéma à l’instar des Filles du Rhône (1937-1938) ou des Hommes sans nom (1937). Son attachement à la Provence était tel qu’il devint sous-préfet d’Arles sous l’Occupation, de nov. 1940 à avril 1942, période durant laquelle il mit en œuvre, avec un certain zèle, la Révolution nationale de Pétain, s’enquérant notamment de dépoussiérer le folklore et les coutumes provençales. Il fut ainsi une plume régulière de la Revue d’Arles , organe vichyste en Provence, mais aussi de Gringoire , hebdomadaire collaborationniste durant l’Occupation. Il y publia notamment plusieurs nouvelles inédites dont La Fille de l’Infanterie (1943). Durant ces années provençales (1930-1945), il cofonda aussi avec Léo Lélée – peintre des arlésiennes – la Société des Amis des moulins d’Alphonse Daudet . Son poste de sous-préfet pendant l’Occupation lui vaudra d’être arrêté par les Allemands en 1943, puis d’être condamné à mort à la Libération (1946). On lui reprochait alors d’avoir fait arrêter des résistants. Coup dur pour un Saint-Cyrien, militaire de carrière, combattant de la Grande Guerre, aviateur dans la 12e escadrille, fils du général Pierre des Vallières mort aux combats. C’est en Suisse qu’il trouva refuge. Il y vécut jusqu’en 1952, année où il fut acquitté à l’unanimité et put enfin rentrer en France. Outre ses récits sur l’armée, la guerre et la Provence, on lui doit des essais sur le théâtre (1923, 1925), des textes sur le Maroc (Aux portes du Sud , 1930) , des biographies de comédiens (Greta Garbo, Charlot, Marcelle Romée, Annabella) ou encore des hagiographies de la Vierge Marie : Marie de Jérusalem (1928) et La Vie de Marie (1928). On lui doit aussi six albums pour enfants (coll. Printemps du Monde) , illustrés par son fils, le dessinateur Hervé des Vallières.

  • Condition: cf. les photos et la description ci-dessous
  • Poids: env. 2,7 kg (sans emballage)
  • Objet modifié: Non
  • Éditeur: La Revue Française
  • Époque: 1900 à 1960
  • Reliure: en feuilles
  • Langue: Français
  • Signée: Oui
  • Caractéristiques spéciales: Illustré
  • Lieu de publication: Paris
  • Date de publication: 1928
  • Sujet: Religion, Vierge Marie, Christianisme, Chrétien, Art sacré
  • Auteur: Jean Ravennes [/ Jean des Vallières] (1895-1970)
  • Illustrateur: George Desvallières (1861-1950)

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