France, Pibrac près de Toulouse, Maison natale de Sainte Germaine, circa 1870 Vi

EUR 79,00 Achat immédiat, Livraison gratuite, 14-Jour Retours, Garantie client eBay
Vendeur: photo-discovery ✉️ (37.265) 99.9%, Lieu où se trouve: Arnaville, FR, Lieu de livraison: WORLDWIDE, Numéro de l'objet: 352747631764 France, Pibrac près de Toulouse, Maison natale de Sainte Germaine, circa 1870 Vi.

France, Pibrac près de Toulouse, Maison natale de Sainte Germaine, circa 1870 [PF6845] Catégorie : CDV > vues, views > France Année : Circa 1870 Type : CDV, tirage albuminé, 6 x 10.5 cm, vintage albumen print Format (cm): 6,5x10,5 Vintage CDV albumen carte de visite - Provost photographe, Toulouse. Prière à Sainte Germaine de Pibrac au dos.
La maison natale de Germaine Cousin, la métairie de Mestre Laurens. Elle est située à environ 2 kilomètres du village de Pibrac, dans le hameau appelé ’le Gainé’. Pibrac est un petit village situé 15 km à l'ouest de Toulouse, en Haute-Garonne.

Germaine Cousin dite sainte Germaine de Pibrac, (née en 1579 à Pibrac - morte le 15 juin 1601 dans la même commune) est une vierge et sainte catholique, fêtée le 15 juin.
Fille de Laurent Cousin, un modeste laboureur et de son épouse Marie Laroche, Germaine naît à Pibrac petit village situé 15 km à l'ouest de Toulouse, en 1579.
Atteinte de scrofules (adénopathie tuberculeuse), elle avait aussi une main atrophiée. Sa mère mourut alors qu'elle était encore très jeune. Par la suite, son père se remaria avec une femme acariâtre qui lui fit subir toutes sortes d'humiliations et de maltraitances. Germaine fut reléguée dans un appentis, loin de la vie familiale.
Elle persuada son père de l'envoyer garder les troupeaux dans la nature, où elle pouvait réciter son chapelet et trouver le réconfort dans la prière. Elle allait tous les jours à la messe, et donnait aux pauvres le peu de pain qu'elle avait.
Un jour de 1601, son père la trouva morte dans le réduit où on l'obligeait à dormir. Elle avait 22 ans. Elle fut enterrée dans l'église de Pibrac, et, peu à peu, tout le monde oublia l'existence de cette sépulture.
Elle plantait sa quenouille en terre et la quenouille gardait les moutons ; jamais une brebis ne s'égara, et jamais non plus les loups, pourtant nombreux dans la région à cette époque, n'attaquèrent le troupeau.
Pour aller à l’église, elle devait traverser un gros ruisseau. Un jour que le ruisseau était en crue, des paysans qui la voyaient venir se demandaient, d’un ton railleur, comment elle ferait pour passer. Les eaux s’ouvrirent devant elle et elle le traversa sans même mouiller sa robe.
Un jour, sa marâtre l'accusa de voler du pain. Elle la poursuivit afin de la frapper et de la confondre, malgré l'insistance de voisins qui voulaient la retenir. Quand celle-ci rattrapa Germaine et lui fit ouvrir son tablier, à la place du pain qu'elle pensait y trouver s'étalait une brassée de roses . Son père fut alors ébranlé, il interdit à sa femme de frapper Germaine et lui demanda de réintégrer la maison ailleurs que dans le grabat qu'elle occupait. Elle refusa. Un tel miracle est aussi rapporté pour sainte Élisabeth de Hongrie et sainte Élisabeth de Portugal.
La nuit de sa mort, on raconte que deux religieux en route pour Pibrac à la nuit tombée, virent passer en direction de la maison de Laurent Cousin deux jeunes filles vêtues de blanc. Le lendemain matin, alors qu'ils reprenaient leur route, ils virent ressortir trois jeunes filles, dont l'une, encadrée par les deux autres, était couronnée de fleurs.
En 1644, alors que le sacristain se préparait à organiser des funérailles en creusant une fosse, il tomba sur un corps enseveli dont la fraîcheur le stupéfia. Même les fleurs que la morte tenait étaient à peine fanées. À la difformité de sa main, aux cicatrices des ganglions de son cou, on reconnut Germaine Cousin. Alors son corps fut déposé dans un cercueil de plomb, offert par une paroissienne guérie par l'intercession de la sainte, et déposé dans la sacristie où il demeura, à nouveau oublié, encore seize ans.
Le 22 septembre 1661, le vicaire général de l’archevêque de Toulouse, Jean Dufour, vint à Pibrac. Il s'étonna de voir ce cercueil resté dans la sacristie, le fit ouvrir, et découvrit que la sainte présentait toujours le même état de fraîcheur. Il fit creuser tout autour de là où le corps avait été trouvé, et tous les morts enterrés au même endroit n'étaient plus que des squelettes. Ébranlé par ce miracle, le vicaire général demanda l'ouverture du procès en canonisation de Germaine en 1700.
Sa dépouille subit encore de nombreuses pérégrinations accompagnés de plusieurs miracles.
Quatre principaux miracles furent certifiés, discutés par la sacrée congrégation des rites, et approuvés pour la béatification de Germaine par Pie IX le 7 mai 1854:
La multiplication du pain dans la communauté de Notre-Dame de Charité du Bon-Pasteur à Bourges en novembre 1845.
La multiplication de la farine, dans le même monastère, peu après celle du pain.
La guérison parfaite et instantanée de Jacqueline Catala, petite fille de sept ans, rachitique depuis l'âge de 18 mois.
La guérison, également instantanée et parfaite, de Pierre Leduc, un jeune homme de 14 ans, du village de Cornebarrieu, atteint à la hanche d'une fistule carieuse et très profonde.
Germaine fut canonisée en 1867. À Pibrac, une basilique a été élevée en son honneur en 1901. La maison natale de Germaine Cousin, la ’métairie de Mestre Laurens′, existe toujours. Elle est située à environ 2 kilomètres du village de Pibrac, dans le hameau appelé ’le Gainé’. Récemment restaurée, on peut la visiter.

Articles connexes qui peuvent vous intéresser Lepetit, Trouville, Normandie, Dieppe vue de la Poissonnerie France, Nord, Château à identifier dans la région de Lille Strasbourg, le théâtre Neurdein, Normandie, Dieppe, L'avant-port Pacault, Pau, Palais de Justice

Informations complémentaires relatives à la vente Toutes les photographies vendues sur ce site sont des tirages originaux d'époques, sauf indications contraires. Nous acceptons les retours sans conditions. Nous expédions dans le monde entier via DHL, avec ou sans assurance, suivant la valeur. Nous sommes acheteurs de collections complètes, si vous avez quelque chose à vendre, contactez-nous au 00 33 6 09 75 86 57 ou bien par mail à tartarin.photo@gmail.com Concernant nos photochromes vintage, merci de lire: http://www.loc.gov/pictures/collection/pgz/process.html All photographs sold on this site are vintage original prints, unless otherwise indicated. We accept returns without conditions. We can ship free of charge Worlwide, with or without insurance, according to the value. We are buyers of complete collections, if you have something to sell, please contact us at 00 33 6 09 75 86 57 or by mail to tartarin.photo@gmail.com Alle Fotos auf dieser Website verkauft Original-Abzüge von Perioden, sofern nicht anders angegeben. Wir nehmen Rückkehr ohne Auflagen. Wir senden frei von der Welt, mit oder ohne Versicherung, je nach dem Wert. Concerning our vintage photochrom, please refere to: http://www.loc.gov/pictures/collection/pgz/process.html [LR-1622920434]
  • Type: CDV, tirage albuminé, 6 x 10.5 cm, vintage albumen print
  • Année: Circa 1870
  • Format (cm): 6,5x10,5
  • Référence: PF6845

PicClick Insights - France, Pibrac près de Toulouse, Maison natale de Sainte Germaine, circa 1870 Vi PicClick Exclusif

  •  Popularité - 0 personnes suivent la vente, 0.0 de nouvelles personnes suivent la vente par jour, 1.695 days for sale on eBay. 0 vendu, 1 disponible.
  •  Meilleur Prix -
  •  Vendeur - 37.265+ articles vendu. 0.1% évaluations négative. Grand vendeur avec la très bonne rétroaction positive et plus de 50 cotes.

Les Gens ont Aussi Aimé PicClick Exclusif